Dans votre ville, votre opticien
Centre Commercial des Trois Parts
Rue du Clos de la Ferme
91070 BONDOUFLE
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Ouvert du mardi au samedi de 9 h à 19 h
Dans votre ville, votre opticien
Bien voir
en toutes circonstances
Indique la puissance (en dioptries) sphérique du verre. Si celui-ci est précédé d’un + le verre est convergent (plus épais au centre que sur les bords), il corrige l’hypermétropie. S’il est précédé d’un – il est divergent (plus fin au centre que sur les bords), il corrige la myopie.
Indique la puissance cylindrique qui éventuellement permet de corriger l’astigmatisme (le verre n’est plus sphérique mais sphéro-cylindrique comme un ballon de rugby).
Complète la valeur du second chiffre en indiquant l’axe d’orientation (du ballon de rugby) par rapport à l’horizontale.
Précise l’addition à appliquer sur la vision de loin pour obtenir la vision de près. Verres progressifs ou double foyer pour la presbytie.
Les grands verriers sont tous dignes d’intérêt. Essilor et ses filiales Novacel et BBGR sont le premier groupe ophtalmique au monde (fabrications françaises) ; le second, Hoya et ses filiales, est un groupe japonais qui fabrique en France ; Rodenstock est un groupe allemand.
En fonction de multiples facteurs votre opticien peut vous conseiller le ou les fabricants les mieux appropriés. Les critères de choix sont très nombreux et dépendent notamment des spécialités de chacun des verriers, des aspects techniques (correction, matière, type d’aminci, traitements…), de l’âge, de l’évolution de la pathologie, et bien sûr du prix.
Il faut en revanche être particulièrement attentif au type de verre proposé. Il est malheureusement très fréquent qu’un verre de très ancienne génération, parfois plus de 20 ans, soit proposé comme étant le plus performant puisque provenant d’un fabricant prestigieux. Or un verre progressif aussi ancien ne peut en aucun cas être plus performant qu’un verre récent de quelque verrier que ce soit.
L’opticien professionnel dispose d’un robot, appelé « meuleuse » qui découpe le verre qui lui est fourni par le verrier sous forme d’un galet de 7 cm de diamètre. Cet outil qui au fil des années s’est extraordinairement perfectionné (et dont le prix est significativement plus élevé que celui d’une grosse berline !) permet d’ajuster la découpe du verre en fonction des critères de centrage (alignement des pupilles, des centres optiques des verres et des centres géométriques de la monture) relevés par l’opticien, de la forme de la monture et d’effectuer toutes les opérations de rainurage et perçage avec une extrême précision.
Les verres sont ensuite montés conformément aux types de montures